Intermède
Je réponds rarement aux différents tags, mais là, un peu de divertissement : mes hommes préférés.
- Au top des séducteurs, incontestablement, Clark Gable dans " Autant en Emporte le Vent " :
- Autre époque, celle de ma jeunesse, l'incontournable Julio Iglésias. Le Latin Lover qui savait si admirablement nous séduire : " Vous les femmes ... "
- Bien évidemment le beau George :
" What else ? " Alors là : The BIG SCOOP !! Fut un temps le beau George Clooney eut une liaison avec Lisa Snowdon, mannequin anglais :
Or, figurez-vous que la grand-mère de Lisa, Madeleine, et ma grand-mère, Lucie, étaient deux soeurs . Malheureusement les relations des descendants ne se résument plus qu'à des voeux échangés à Noël et je n'ai donc pas eu le bonheur de rencontrer le mythe, en chair et en os. Il faut dire aussi que vu le défilé de ses conquêtes, il fallait être là au top moment !
- Autre homme de ma vie : mon père (complexe d'Oedipe probablement !) :
Du temps de sa jeunesse beaucoup de personnes lui trouvaient un air de ressemblance avec Gérard Philipe. Il mérite donc de rentrer dans ce classement ! Pour moi, il reste toujours à son évocation, deux effluves : celle de son parfum "Habit Rouge" de chez Guerlain, et étrangement, l'odeur du thym qu'il me faisait sentir. Nous n'allions jamais ensemble au jardin sans qu'il frotte la touffe de thym et qu'il me fasse sentir l'odeur imprégnée dans ses mains si grandes pour mon petit nez d'enfant. Encore, aujourd'hui, dès que j'en coupe au jardin pour la cuisine, je ne peux m'empêcher de répéter ce geste !...
- Quant à " Sir Cott " , trois lignes ne suffiraient pas. Il faudrait un roman...
- Et enfin, mon fils. Là les mots sont inutiles. " L'amour maternel est si merveilleux qu'on ose à peine en parler : devant le tabernacle le plus grand silence est la plus grande admiration " . Camille Schneider (Ecrivain né à Molsheim et mort en 1978. Il est l'instigateur dans les années 1920, de la fête des mères en France).